1 an déjà
Cela fait un an que je me suis lancé dans les petites chroniques naturalistes. En comptant les 5 semaines de vacances obligatoires, cela fait presque 50 chroniques postées le dimanche. Aujourd’hui, vous êtes plus de 500 à vous être abonnés pour suivre les aventures de Dame Nature. Certes, je n’arrive pas à la cheville de Rihanna … mais ça tombe bien, ce n’est pas l’objectif !
Curieux de nature, j’aime comprendre comment elle fonctionne. A chaque observation, je tiens à savoir à qui j’ai à faire, comment la bestiole vie, passe l’hiver, perpétue l’espèce, évite ses prédateurs, capture ses proies, supporte la chaleur…
A chaque observation, une nouvelle enquête commence : internet, où il y a du tri à faire, les livres, anciens ou plus récents, les revues, la Salamandre et Espèces et enfin, la bible, pour le fond et la forme, « la Hulotte, la revue la plus lue dans les terriers »… Les réseaux sociaux sont également d’une grande aide, (non, il n’y a pas que du mauvais) avec Facebook et des groupes spécialisés sur les insectes, amphibiens, reptiles, oiseaux, mammifères et plantes, où des fous et des mordus partagent et débattent… Des échanges riches et passionnants.
Mais que faire ensuite de toutes ces données « en vrac » ? Quand j’étais jeune, j’apprenais en recopiant mes leçons, ma façon à moi d’ancrer les connaissances dans ma mémoire. Aujourd’hui, je ne me voyais pas faire des petites fiches à ranger dans un classeur, trop scolaire, j’ai malheureusement passé l’âge…
Alors, avec « les petites chroniques naturalistes », je fais d’une pierre deux coups. Je synthétise ce que j’ai appris sur un sujet, avec une petite touche d’humour, ça ne mange pas de pain, et je publie. Ainsi, je retiens mieux ce que j’ai appris, et je vous fais part de mes découvertes. Et quand je ne me rappelle plus d’un truc, hop, colocaterre sur FB et je retrouve la mémoire…
N’hésitez pas à me faire part de vos observations, de vos questionnements, je me ferai un plaisir d’enquêter et de publier une nouvelle chronique. Ainsi, vous apporterez de l’eau au moulin permettant à chacun de mieux comprendre et se réapproprier la nature et apporterez ainsi votre pierre à l’édifice, pour promouvoir la biodiversité.